• Des vacances en septembre et ensuite beaucoup de travail et de problèmes à résoudre m'ont tenue loin du blog. Allez hop, c’est repartie, peut être sur un rythme de publication moins rapide.

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  • Et que tu es là, que tu regarde le spectacle, ou que tu participe à la petite fête…

    En photos, quand son amant baise ta femme En photos, quand son amant baise ta femme...
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  • Pour une femme dominatrice et initiatrice, le cuckolding consiste a transformer, de manière perverse et hautement jubilatoire, son mari ou petit ami en cocu soumis consentant.

    Le processus de "cuckoldisation" peut commencer de multiples manières.
    La solution la plus simple provient souvent d’une prise de conscience, liée au pratiques, mots utilisés, désirs exprimés et confidences sur l’oreiller effectuées lors des ébats amoureux du couple.
    Une autre solution, peut être la plus… amusante, est la situation ou la femme trompe son mari de manière classique, c’est à dire en se cachant. Puis un jour par hasard, ou lors d’insinuations faites par la femme sur l’oreiller, le mari découvre qu’il est trompé et cocu. Découvrant cette vérité, il est naturellement abattu, et après quelques conversations et explications insatisfaisante de sa femme, reste impuissant, ne sachant que faire.

    Il aime profondément sa femme, ne veut pas la perdre, essaye de comprendre ce qui se passe et doit se résoudre à penser qu’il n’a pas été à la hauteur. Ils parlent ensemble, il lui demande d’arrêter, supplie. Mais elle refuse "ce n’est pas toi qui décide, c’est moi !", "je vais voir, mais je ne peux rien te promettre" dit elle doucement avec perfidie. A ce moment la dominatrice, la "hotwife" sent qu’elle a le contrôle de la situation et qu’elle va pouvoir imposer sa volonté. Lui sent qu’il est piégé, soumis, n’ayant pas le choix, il souffre, mais une petite voix lui dit que cette perversité contient également quelque chose d’hautement jouissif.

    Le temps passe, la situation ne s’arrange pas et empire. Les absences répétées de sa femme, ses retours à la maison tard le soir, ses quelques nuits entières d’absence, les questions sans réponses, ses silences, ses petites phrases ambiguës pleines de malices et perversités, indiquent qu’elle continue à exercer sa liberté sexuelle avec autant d’hommes qu’elle le désire. Son mari, désemparé, impuissant et angoissé doit désormais accepter la situation s’il veut la garder. Il est désormais officiellement, son cocu.

    Le mari est constamment inquiet à l’idée de perdre sa femme en la voyant partir avec un autre. Si elle s’attache à un de ces amants, celui ci pourra devenir son amant officiel et régulier, l’ami qui dort souvent à la maison, dans le lit conjugal pendant que le mari va dans la chambre d’ami. Quand son mari va comprendre qu'elle fait avec son amant des choses qu’elle ne fait pas avec lui, son angoisse et sa perverse excitation va s'intensifier. Le mari cocu, trompé, humilié ressent alors des sentiments contradictoire fait d’intenses excitations émotionnelles et de souffrance masochiste.

    Mais la situation peut encore dégénérer, si la femme, voyant que son mari un a décidement un potentiel de soumis hors du commun, se prends de l’idée de l’offrir à certains de ces amants, voir à un groupe d’homme et organise ainsi une véritable petite tournante pour son mari… histoire de jouir à l’idée de regarder le spectacle de son petit mari sucer des bites, avaler et se faire copieusement sodomiser. La situation d’humiliation peut encore s’agraver si des personnes de l’entourage viennent à apprendre la situation. Sans parler de la possiblité que sa femme tombe enceinte de l’amant.

    L’angoisse du cocu est alors multiple, mais l’excitation à son comble.

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  • J’ai toujours veillé à être discrète, mais c’est parfois compliqué.
    Jeune étudiante, je me souviens une fois avoir surprise une conversation entre trois mecs. Coincidence, ils ne savait pas que j’étais là dans le couloir à écouter. Un gars avec qui j’avais couché disait, “merde cette fille peut prendre une grosse bite partout, comme aucune autre, jusqu’au fond”. Il parlait de moi.

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  • Un commentaire me demande la suite de cette petite histoire.

    Nous attendons devant la porte des toilettes de la boite. Nous discutons, c’est un garcon pas mal et élégant, il me drague, est coquin et audacieux, il semble un peu bourré. La musique est forte mais ne nous empêche pas de discuter. Nous avions déjà parlé ensemble au bar, pour dire des choses banales et sans intérêt comme toujours dans les boites. Il y a une sorte de petite complicité coquine entre nous.
    Une fille sort des toilettes.
    Moi : Qui va en premier ?
    Lui : Tout les deux ?
    Moi (interloqué) : …….
    Lui : Tu viens avec moi ?
    Moi : Dans les toilettes ?
    Lui : Pourquoi pas. Pour m'aider à faire pipi.
    Moi : Tu veux que je te fasse faire pipi ?
    On rentre dans les toilettes, peu de place c’est serré, je suis sur sa droite. Il me regarde avec comme un air de salaud. Comme s’il m’ignorait il se déboutonne, sort sa queue, et tente de faire pipi. Problème, il est déjà à moitié dur et n’arrive pas faire ce qu’il veut faire. Je lui prends la queue et le branle doucement ; rapidement, doucement, rapidement. Je le regarde dans les yeux. Sa main droite est posé derrière ma nuque il touche et caresse mes cheveux, je sens bien qu’il aimerait être plus directif, appuyer sur mon épaules ou me tirer les cheveux pour me mettre à genoux et pouvoir se faire sucer. Il veut m’embrasser mais j’esquive. C’est chaud, je pense à mon mari resté au bar qui doit se demander ou je suis et qui peut être me cherche, je suis excité, j’aimerais me mettre les mains appuyées face au mur, lui présenter ma croupe de petite pute, il relèvererait le léger tissu de ma petite robe noire, regarderait mon petit cul que seul la ficelle d’un string noir cache, il pourrait glisser sa main entre mes jambes, caresser et écarter les levres de ma chatte, rentrer des doigts à l’intérieur, finir par facilement m’ouvrir, me rentrer sa queue et me baiser comme un goret tellement je mouille. Mais non, pas maintenant, Je suis une petite salope mais aussi une petite bourgeoise n'est ce pas, et puis il y a des gens derrière la porte qui attendent, les pauvres, je ne veux pas les traumatiser avec des cris... ! Rapidement, je prends du papier que je mets en boule dans mon autre main et le plaque au bout de sa bite pendant que je le branle avec l’autre main. Inutile d’en mettre partout sur le mur ou… sur moi...
    Il jouit. Je sens le sperme qui innonde le PQ. J’ai la main moite...

    Sans un mot, je sors des toilettes, le laissant seul à l’intérieur. Il y a gens qui attendent et font comme s’ils n’avaient rien vu.

    Comme si de rien était, je me lave les mains à coté. Avant de remonter à l’étage comme si rien ne s’était passé.

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