• J’ai toujours veillé à être discrète, mais c’est parfois compliqué.
    Jeune étudiante, je me souviens une fois avoir surprise une conversation entre trois mecs. Coincidence, ils ne savait pas que j’étais là dans le couloir à écouter. Un gars avec qui j’avais couché disait, “merde cette fille peut prendre une grosse bite partout, comme aucune autre, jusqu’au fond”. Il parlait de moi.

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  • Un commentaire me demande la suite de cette petite histoire.

    Nous attendons devant la porte des toilettes de la boite. Nous discutons, c’est un garcon pas mal et élégant, il me drague, est coquin et audacieux, il semble un peu bourré. La musique est forte mais ne nous empêche pas de discuter. Nous avions déjà parlé ensemble au bar, pour dire des choses banales et sans intérêt comme toujours dans les boites. Il y a une sorte de petite complicité coquine entre nous.
    Une fille sort des toilettes.
    Moi : Qui va en premier ?
    Lui : Tout les deux ?
    Moi (interloqué) : …….
    Lui : Tu viens avec moi ?
    Moi : Dans les toilettes ?
    Lui : Pourquoi pas. Pour m'aider à faire pipi.
    Moi : Tu veux que je te fasse faire pipi ?
    On rentre dans les toilettes, peu de place c’est serré, je suis sur sa droite. Il me regarde avec comme un air de salaud. Comme s’il m’ignorait il se déboutonne, sort sa queue, et tente de faire pipi. Problème, il est déjà à moitié dur et n’arrive pas faire ce qu’il veut faire. Je lui prends la queue et le branle doucement ; rapidement, doucement, rapidement. Je le regarde dans les yeux. Sa main droite est posé derrière ma nuque il touche et caresse mes cheveux, je sens bien qu’il aimerait être plus directif, appuyer sur mon épaules ou me tirer les cheveux pour me mettre à genoux et pouvoir se faire sucer. Il veut m’embrasser mais j’esquive. C’est chaud, je pense à mon mari resté au bar qui doit se demander ou je suis et qui peut être me cherche, je suis excité, j’aimerais me mettre les mains appuyées face au mur, lui présenter ma croupe de petite pute, il relèvererait le léger tissu de ma petite robe noire, regarderait mon petit cul que seul la ficelle d’un string noir cache, il pourrait glisser sa main entre mes jambes, caresser et écarter les levres de ma chatte, rentrer des doigts à l’intérieur, finir par facilement m’ouvrir, me rentrer sa queue et me baiser comme un goret tellement je mouille. Mais non, pas maintenant, Je suis une petite salope mais aussi une petite bourgeoise n'est ce pas, et puis il y a des gens derrière la porte qui attendent, les pauvres, je ne veux pas les traumatiser avec des cris... ! Rapidement, je prends du papier que je mets en boule dans mon autre main et le plaque au bout de sa bite pendant que je le branle avec l’autre main. Inutile d’en mettre partout sur le mur ou… sur moi...
    Il jouit. Je sens le sperme qui innonde le PQ. J’ai la main moite...

    Sans un mot, je sors des toilettes, le laissant seul à l’intérieur. Il y a gens qui attendent et font comme s’ils n’avaient rien vu.

    Comme si de rien était, je me lave les mains à coté. Avant de remonter à l’étage comme si rien ne s’était passé.

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  • Ils font une petite promenade dans la rue. Ils sont mignon, non ?

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